Lors de la première vague, les hôpitaux avaient créé des centaines de lits supplémentaires de soins intensifs. Aujourd’hui, ils manquent surtout de personnel, mais aussi d’un signal de la Confédération à compenser la perte de leurs recettes depuis le début de la crise

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *